Feed me more. [En cours.]

Présentation de

Orihara Nash

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IRL

Prénom / Pseudo : Guillaume.
Sexe : Masculin.
Âge : 17 ans.
Quelque chose à rajouter sur le forum ? Du tout.
Comment as-tu découvert le forum : Des amis.

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IRP

Nom - Orihara.
Prénom - Nash.
Age - 26 ans.
Sexe - Masculin.
Origine de l'avatar - Heine Rammsteiner - DOGS: Bullets and Carnage.

Faction - Pirates.
Métier - Vigie.
Fruit du Démon / Dials / Armes - Hito Hito No Mi - Modèle Bouddha.

Description Psychologique

Impulsif. S'il fallait définir notre pirate albinos, ce serait son impulsivité qui ressortirait. Agir sans réfléchir, en se laissant guider par ses impulsions, il le fait quotidiennement. Prendre des décisions en une fraction de seconde sans même penser aux répercussions, cela lui arrive sans cesse. Au risque de le fourrer dans des situations délicates, qui l'amène à amèrement le regretter, c'est plus fort que lui. On dit qu'on apprend de ses erreurs passées, ce n'est pas son cas. Lui ne retient rien. Il agit trop vite, sans prendre la peine d'élaborer une quelconque stratégie et peste un bon coup derrière à cause de sa connerie. Pour autant, sa spontanéité ne lui procure pas que du négatif, il y a du bon à se laisser guider par ses sentiments du moment. Notamment cette prise de risque constante, qu'il recherche constamment, désireux de goûter à cette sensation enivrante qui s'empare de lui en situation périlleuse. A savoir que l'impulsivité de Nash fait de lui un être dépourvu de toute persévérance.

Autre point qui ressort inévitablement avec une personne impulsive, son agressivité. Et il faut bien reconnaître que le Orihara n'en manque pas, ce serait même bien tout le contraire. Depuis son adolescence, on lui a reproché d'être trop violent, de trop jouer sur l'offensive. Belliqueux au possible, il ne ratera jamais l'occasion d'encastrer les phalanges de son poing dans la boîte crânienne d'un pauvre type. Avec raison, il aura toujours une raison. Elle pourra paraître exagéré, mais son acte sera toujours à ses yeux, parfaitement justifié. Coller une droite à un mec simplement parce qu'il a éternué trop fort, c'est une raison plus que valable. Évidemment, il saura toujours user de provocation envers autrui, afin de pousser les autres à user de la force pour le réduire au silence. Déclencher une bagarre avec quelques insultes bien placées, c'est tellement facile de nos jours... De la haine, il n'en manque pas. De la haine, il n'aura de cesse d'en répandre tant qu'on le lui permettra.

Désaxé, déséquilibré, détraqué, que de synonymes qui définissent assez justement la personne qu'est Nash. Si l'on met de côté son impulsivité et son agressivité, c'est sa folie qui ressortira. Mentalement désorientée, c'est exactement ce qu'il est. Cela le rend totalement imprévisible, capable d'accomplir le meilleur comme le pire, que ce soit pour sa pomme ou envers son entourage. Lui-même ne parvient pas totalement à se contrôler, à savoir de quelle façon s'arrêter. Il est incontrôlable tant pour lui que les autres. Perturbé psychologiquement, cela se ressent au niveau de l'échange verbale. Non pas parce qu'il insulte à tout va, simplement qu'il faut s'accrocher pour tenir une discussion avec lui. Au bout de quelques échanges, son interlocuteur serait vite amené à perdre le fil de la conversation. La faute à Nash, qui part dans tous les sens, tiens des propos qui ne s'assemblent pas avec les précédents, qui n'ont aucune connexion. Le seul qui pourrait le comprendre et encore, rien n'est prouvé, serait son frère Jaqen.

Et puisque l'on aborde le sujet de la famille, attardons-nous à sa relation avec son frère. Nash est l'exemple parfait que toute personne, aussi cruelle ou invivable soit elle, a ses points faibles. Vous l'aurez deviné, en ce qui concerne notre pirate, c'est sa famille. A commencer par son demi-frère, Jaqen. S'ils n'ont pas grandi ensemble, qu'ils n'ont pas le même paternel, Nash ne le considère pas moins comme son petit frère. De deux ans plus âgé, avec l'amour fraternel qu'ils ont développé s'est emparé du déjanté une certaine volonté de protection sur Jaqen. Etre-là pour s'assurer que jamais rien ne lui arrive, prendre les coups à sa place et les rendre pour lui. S'accuser des torts causés par son petit frère, tout cela il le ferait sans problème. Ce n'est pour autant pas aussi facile tous les jours. Car il le sait, son frère est un véritable nid à embrouilles. Rien de suffisant pour autant pour briser ce qu'ils ont noué ces dernières années. Il donnerait tout ce qu'il a pour son frère, que ce soit réciproque ou non.

En tant que pirate depuis maintenant plusieurs années, Nash a pu découvrir toutes les bonnes choses qu'une telle vie peut offrir, mais aussi les plus mauvaises. Parmi les bonnes, cette sensation évidente de liberté qui vous transporte chaque jour à un endroit différent, avec des personnes différentes. Naviguer, explorer, partager son verre avec d'autres forbans de sa trempe, un quotidien auquel il s'est rapidement habitué. Mieux, il ne serait plus capable de s'en passer, désormais. C'est sa vie et il ne donnerait rien au monde pour la remplacer avec une autre. L'argent, cela ne l'a jamais trop attiré. Il en a eu assez dans les poches durant sa jeunesse, il sait ce qu'on peut en faire et ce que trop de berrys peut vous faire devenir. Il ne refusera jamais un bon verre de rhum, ni même de s’empiffrer en bonne compagnie. De même qu'il sera toujours le premier pour décocher une droite au milieu d'une taverne, déclenchant ainsi une bonne bagarre générale. Prendre des coups remet les idées en place, qu'il pense.

Le One Piece, comme tout pirate qui se respecte, il a pensé à y mettre la main dessus. Cela apporterait au chanceux qui arriverait à le trouver, une gloire éternelle. Et encrer son nom dans l'histoire de la piraterie, il n'y aurait rien de plus beau pour lui, qui a longtemps était écarté, dissimulé, renié. Se faire connaître, que l'on parle de lui au-delà des Blues, sur l'intégralité de Grand Line, tel est son but premier. Prendre sa revanche sur ce monde qui l'a trop longtemps laissé dans l'ombre.

Biographie

Il ne doit pas savoir, jamais.

La décision de la pauvre femme, allongée sur son lit souillé par quelques tâches de sang, le visage ravagée par la fatigue et couvert de transpiration, était sans appel. Il ne devait pas apprendre l'existence de cet enfant qu'elle venait tout juste de mettre au monde. Il, c'était son mari. Un pirate répondant au nom d'Orihara Goss. Pourquoi ne devait-il pas être mis au courant ? Simple que l'enfant de Juliette, n'était pas de lui. Quand son mari prenait la mer, la belle, allait se consoler dans les bras de plusieurs autres. Non, ce n'était pas une catin. Simplement qu'elle se sentait délaissée, et qu'elle ne résistait jamais aux charmes d'un bel homme, tout particulièrement les pirates. Seulement, son fils de quelques minutes à peine, n'était pas le fruit d'une folle nuit avec un hors la loi. Non. Jack. Jack Maddox. Tel était le nom du paternel biologique du nouveau-né. Un Commandant de la Marine, en fonction sur une île d'East Blue. Juliette osait à peine imaginer dans quelle colère noire entrerait Goss si jamais il apprenait qu'elle l'avait trompée.

Le ciel soit loué, du fait qu'il soit un pirate, il n'était pas rentré depuis maintenant plus d'une année, il n'avait donc eu aucune chance de se douter de quoique ce soit. Cet enfant était une erreur et en tant que tel, elle le sortirait de sa vie afin d'éviter que celle-ci ne vole en éclats. Comme convenu avant la naissance du bébé, sa cousine l'adopterait et ferait comme si cet enfant était le sien. Et personne n'en saurait jamais rien. Ni Goss, ni Jack. Ni même le nourrisson. Au retour de son homme, Juliette l'accueillerait de la plus belle des manières, entièrement nue et tout dévouée à assouvir ses plus profonds fantasmes. Elle réparerait sa faute en silence, aurait un enfant du pirate et celui-ci, elle l’élèverait au grand jour, en ne se cachant de rien. Certes, un pareil avenir pouvait paraître injuste pour l'enfant caché, il devait néanmoins en être ainsi pour le bien de tous. Il en était convenu ainsi. Et ainsi ce fut. Les parents adoptifs emmenèrent le bébé, enveloppé dans des draps blancs, pleurnichant, sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait...

***
22 ans plus tard...

East Blue, Fracass Island. 10ème Coupe des Blues du Football Fracasseur.

Oooooooh ! Terrible choc entre le défenseur des Dogs d'East Blue et l'attaquant des Cyborgs de North Blue. Tous deux sont à terre, inconscients. Le ballon s'est envolé de plusieurs dizaines de mètres ! Qui va aller à la récupération ? OH ! C'EST ORIHARA NASH ! CAPITAINE DES DOGS ! LE FLEAU DES DOGS SE MET EN MARCHE !

J'laisse un sourire carnassier s'installer sur mon visage, la foule est en délire aujourd'hui. J'me réceptionne facile à la retombée d'mon saut pour récupérer la balle. Un rapide coup d'oeil autour d'moi, j'en ricane tout en ressentant l’excitation du moment m'envahir. Cette course, c'ma dernière. Y'aura plus de temps ensuite et ces enflures de cyborgs auront gagné si j'marque pas. J'me sens capable d'le faire, j'l'ai déjà fait des centaines de fois durant ces dernières saisons. Mon sourire s'élargit, toute la défense adverse s'est replacée en bloc d'vant moi, ça va être serré. Heureusement que j'suis pas seul, y'a toute mon équipe derrière-moi. Danny s'est pas explosé la tronche sur ce morceau de métal pour rien, son sacrifice mènera à la victoire. D'un signe d'tête, j'ordonne à mes gars d'monter à l'assaut. Ils vont donner tout ce qu'ils ont dans cette dernière attaque eux aussi, ça fait plaisir. D'une impulsion, j'm'élance aussi, entouré d'mes équipiers. Cette finale, cette coupe, cela fait trois ans qu'on la veut, on laissera pas passer notre chance !

En avant les gars ! Ecrasez-moi l'premier trou du cul qui tent'ra d'me chopper la balle ! J'en veux pas un qui m'approche à moins d'dix mètres !

Ils m'répondent du tac au tac, 'sont chauds comme la braise les gaillards. 70 mètres m'séparent des poteaux adverses. 70 longs mètres que j'ai r'monté plusieurs fois en solo, durant toute la durée d'cette foutue Coupe des Blues. C'mon job, d'relancer tous les ballons. J'vais pas m'foire en finale, j'peux pas. Alors j'fonce et j'compte sur mes gars pour m'épauler. Deux cyborgs tentent de percer l'flanc droit d'notre formation, les enfoirés. L'premier est reçu d'une manchette qui manque d'lui arracher la tête des épaules, tandis que l'second se fait plier en deux d'un plaquage sensationnel de Murdock. Sacré Murdock, t'en auras dégommé des types dans ta carrière. 58 mètres, on approche. Attaque aérienne c'tte fois, ces débiles sont bien équipés 'faut dire, c'pas pour rien qu'ils faisaient trembler l'championnat c'tte année. Trois corps projectiles cyborgs de quatre-vingt-dix kilos d'acier m'fondent d'ssus et j'sais pas si mes potes l'ont remarqué. Ah. Si. Crack en démantibule un en plein vol, s'écrasant avec les restes d'son adversaire des mètres plus loin.

Dalton a cueilli le sien au sol, à la retombée d'ce fumier. L'uppercut qu'il lui a placé sous la mâchoire lui a explosé cette dernière, sous l'rire gras d'un Dalton satisfait. L'dernier s'est vu sa tête s'enfoncer d'plusieurs mètres dans l'sol, d'un coup d'batte cloutée démentiel d'ce vieux George. Il cogne sec le George, pauvre boite de conserve... 33 mètres, c'plus bien loin. D'un autre côté, on est plus bien nombreux. 3, sans me compter. Le double en face pour défendre la ligne, en oubliant l'goal, véritable muraille. On force l'allure, prenant plus d'vitesse, on enfoncera mieux les rangs d'c'tte manière. Deux robots s'mettent sur mon ch'min, comme deux portes infranchissables. La folie illumine mon r'gard, j'fais signe à mes coéquipiers d'me les laisser. Y'a pas d'raison pour que j'puisse pas m'amuser un peu. Et puis, j'suis pas connu pour avoir la droite la plus destructrice des Dogs pour rien. D'une impulsion, l'sol cédant sous mes pieds, j'me propulse vers mes vis-à-vis. J'en vise qu'un, c'lui d'droite.

DOG PUNCH !

Il oppose à mon poing un lourd bouclier fixé à son avant-bras droit. Inutile. Avec la vitesse de propulsion, l'impact est bien trop lourd pour être contenu. Mon poing s'écrase lourdement sur le bouclier, le plie en deux, avant de le faire voler en éclats. Mes phalanges continuent leur chemin jusqu'au torse du Cyborg qui est propulsé des mètres en arrière, son corps traçant un sillon dans le sol du terrain. Mon sourire carnassier s'élargit à son maximum, j'en tremble tellement j'suis excité. Tout simplement jouissif ! Sauf qu'à peine mes pieds touchent l'sol, qu'une ombre s'faufilant derrière mon dos me rappelle qu'ils étaient deux. Et bim. V'là un poing massif en acier qui s'explose sur ma tempe avec fureur, m'envoyant valdinguer sur une dizaine de mètres. Lorsque j'arrête d'roule sur l'terrain, y'a l'son qui s'est tiré, remplacé par un sifflement strident agressant mes tympans. Quant à l'image, elle s'barre en couilles, tantôt à droite, tantôt à gauche, tantôt en haut ou en bas. M'semble même qu'elle va en diagonale...

Un instant, j'suis resté là, à n'pas trop pouvoir respirer ni bouger. Juste lutter pour ne pas chuter. J'ai foiré mon coup. Dix secondes plus tard, j'sombrais dans l'inconscience pour m'réveiller que trois heures plus tard, sur l'banc des vestiaires. Putain. Qu'est-ce que j'ai foutu ?

***
1 semaine plus tard...

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